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Les vaccins contamineraient le corps humain avec des toxines, des métaux lourds et des virus, ou altèrent l'ADN.
Il existe généralement deux types de craintes liées à la vaccination, qui ont tendance à être beaucoup plus importantes que les risques réels encourus. Il a été démontré que ces deux types de craintes influent sur l'hésitation à se faire vacciner.
1) Les craintes liées au fait de subir des effets secondaires (qu'ils soient plausibles ou non). Par exemple :
Ces craintes peuvent provenir ou être amplifiées si les individus perçoivent les vaccins comme contenant des ingrédients toxiques. Certains de ces ingrédients sont souvent mentionnés :
2) La peur de l'injection elle-même, comme la peur des aiguilles.
Ce thème inclut la crainte que le corps soit contaminé par les composants toxiques que les vaccins seraient censés contenir. Les composants que les gens craignent le plus sont :
Il est normal d'avoir des questions et des doutes sur les traitements médicaux. Les gens devraient pouvoir poser des questions sur leurs composants et sur les effets qu'ils pourraient avoir sur leur corps. Dans le passé, certains traitements médicaux n'ont pas été correctement testés, et les gens peuvent donc raisonnablement s'inquiéter. Il est compréhensible de vouloir être rassuré sur l'innocuité des composants des vaccins et sur le fait qu'il existe désormais des normes élevées pour les protocoles de test.
Le dialogue entre les patients et les professionnels de la santé est plus productif s'il est guidé par l'empathie, et s'il donne l'occasion au patient d'exprimer les raisons qui sous-tendent ses attitudes et au professionnel d'exprimer sa compréhension à cet égard. C'est pourquoi il est important de comprendre les racines des attitudes qui se trouvent derrière les opinions exprimées par les gens. Reconnaître et comprendre ces racines (traits psychologiques) chez une personne ne signifie pas que nous devons être d'accord avec les détails de son argument. Par exemple, nous pouvons reconnaître que :
Il est normal d'avoir des questions et des doutes sur les traitements médicaux. Les gens devraient pouvoir poser des questions sur leurs composants et sur les effets qu'ils pourraient avoir sur leur corps. Dans le passé, certains traitements médicaux n'ont pas été correctement testés, et les gens peuvent donc raisonnablement s'inquiéter. Il est compréhensible de vouloir être rassuré sur l'innocuité des composants des vaccins et sur le fait qu'il existe désormais des normes élevées pour les protocoles de test.
L'Agence nationale de sécurité du médicament des produits de santé n'approuve que les vaccins qui ont été soumis à des mesures de sécurité rigoureuses, notamment des tests portant sur l'ensemble du contenu du vaccin.
Les vaccins ne contiennent que des quantités infimes de produits chimiques qui sont nécessaires pour que le vaccin soit administré en toute sécurité et qu'il puisse entraîner la réponse immunitaire de l'organisme. Nous rencontrons souvent de tels produits chimiques en quantités tout aussi faibles chaque jour. Ce n'est pas la présence d'un produit chimique, mais sa quantité qui détermine s'il est dangereux.
Par exemple, nous utilisons des doses sûres de fluorure dans le dentifrice, et de chlore dans les piscines. Même des aliments comme les bananes contiennent du potassium. Aucun de ces éléments n'est dangereux, sauf si nous les ingérons en grande quantité.
Les vaccins qui utilisent l'ARN messager ne font que transmettre des instructions à nos cellules pour les entraîner à développer une protection sûre contre la maladie. L'ARN messager d'un vaccin ne pénètre jamais dans le noyau de la cellule, qui est l'endroit où notre ADN est conservé. Cela signifie que l'ARN messager ne peut affecter ou interagir avec notre ADN de quelque manière que ce soit.
Informations complémentaires :
Academic references: